Cette période est propice à faire la fête et idéale pour prendre du plaisir dans le partage et le geste simple des offrandes oblatives. Aussi faisons la part belle aux différences où l’empathie triomphera de l’insensibilité, la joie de la tristesse et la paix de la guerre. Aux poings serrés et à la mâchoire crispée, préférons la main tendue et les fossettes du sourire. En ces temps de tensions où le racisme va croissant et le “vivre ensemble” se perd dans l’oubli du respect mutuel, retrouvons ce bon sens, beaucoup plus direct que le giratoire nous obligeant à tourner en rond ou à partir dans toutes les directions.

“Le racisme est une chose que je ne peux pas comprendre ! Je trouve monstrueux de considérer qu’il y a des êtres qui sont inférieurs, simplement parce qu’ils ne sont pas comme nous. Ils ont déjà ce handicap !” (Quino, dessinateur, père de Malfada)

“Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c’est leur connerie, pas leurs différences…” (Anna Gavalda, femme de lettres française)

Du silence méprisant à l’insulte, n’hésitons pas à nous nourrir de la citation Monsieur Alexandre Dumas. Des mots bien choisis ne sont-ils pas l’arme absolue ? Des balles dans le revolver de l’humour ? La meilleure riposte n’est-elle pas la répartie ?