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Faut-il craindre l’essor de l’Intelligence Artificielle ? Les copywriters et les rédacteurs sont-ils en danger ?

Face au progrès, la vigilance s’impose et le contrôle rassure !

Dans cette ère où l’IA se fait de plus en plus omniprésente, il serait naïf de penser qu’une simple combinaison de deux voyelles puisse éclipser la richesse et la profondeur des autres lettres de l’alphabet que les copywriters et les rédacteurs animent et associent. En 1982, une telle alliance donna naissance au titre d’un film iconique. « E.T. », l’œuvre magistrale de Steven Spielberg. Des millions d’âmes furent touchées.  Enfants et  parents  découvrirent alors une plaisante morale qui prônait l’amitié, la tolérance et surtout l’ouverture d’esprit envers l’étranger.

Certes, le domaine de l’artificiel et du virtuel progresse à une vitesse fulgurante, mais l’intelligence humaine doit demeurer le pilier fondamental qui donne sens et tonalité aux choses. Déjà, nous devons nous prémunir contre les « deep fakes » conçus par des esprits malveillants manipulant habilement la réalité pour servir des desseins obscurs. En janvier dernier, des fans de la chanteuse Taylor Swift transformée en vendeuse particulière ont été dupés par son avatar. Croyant acquérir des cocottes françaises authentiques “Le Creuset”,  ils ont finalement souscrit des abonnements à des recettes culinaires. La distinction entre vrai et faux devient compliquée et notre vigilance est mise à rude épreuve.

Les robots qui peuplent désormais notre quotidien, fabriqués par l’homme, demeurent incapables de ressentir les émotions. Ils aspirent peut-être à pleurer devant cette constatation, mais heureusement, leur programmation les en préserve. Dans une démarche quasi-divine, certains tentent de leur inculquer cette faculté. Le robot David joué par Jude Law dans le film A.I de Steven Spielberg en s’endormant et en accédant aux rêves finit par s’inscrire dans le temps et l’immortalité. Mais cette aspiration demeure hors de portée pour des machines vouées à l’éveil permanent.

L’empathie, la sincérité, l’authenticité restent des vertus qui doivent demeurer l’apanage de l’humanité.

Dans un monde où les tendances évoluent sans cesse, les copywriters demeurent des acteurs essentiels capables de s’adapter et de créer des contenus percutants pour nourrir le web. Ils demeurent les architectes du discours. Des concepteurs rédacteurs qui donnent vie aux machines en leur fournissant des informations de qualité et des objectifs précis. L’IA ne doit susciter aucune crainte tant qu’elle reste au service de l’humain animé par de nobles intentions. C’est un outil intéressant autant qu’utile pour qui sait l’alimenter et poser les bases des recherches. On peut lui reconnaître une infinie connaissance dans différents domaines et louer sa grande rapidité dans le traitement des données. L’IA ne dort jamais et déborde de mémoire vive. Mais l’œil critique de l’humain et son esprit sont irremplaçables. Ils permettent de vérifier les contresens et de corriger les fautes. Ils gardent surtout le contrôle sur l’adaptation des écrits en fonction des demandes typiquement humaines que les machines ne peuvent pas comprendre.

Si vous êtes artisans, communicants, chefs d’entreprise cherchant à développer votre activité, vous savez pertinemment qu’il est judicieux de confier vos contenus à des rédacteurs qualifiés qui ont le cœur pour chef d’orchestre. Ils manient les mots avec une expertise et une sensibilité artistique propices à susciter l’émotion et à vendre.

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